Depuis quelques années, les notions d’écologie et d’économie se font de plus en plus présentes, voire pressantes, notamment en cette période de crise économique. Alors dès que l’on entend que l’on peut économiser jusqu’à 50 euros par an sur un éclairage, l’argument tient la route. En effet, les ampoules économiques consomment jusqu’à 5 fois moins qu’une ampoule classique et durent parfois 15 fois plus longtemps que ces dernières. De nouvelles couleurs, de nouvelles formes (oblongues, compactes, etc.), de nouveaux usages sont apparus pour s’adapter au consommateur et désormais, il est possible de remplacer entièrement son éclairage, qu’il soit intérieur ou extérieur, quel qu’en soit l’utilisation quotidienne.
On sait pertinemment que la durée de vie d’une ampoule va influer sur l’économie à réaliser et par conséquent, toutes les grandes marques (Osram, Paulmann, Faro, Megaman, Philips, Sylvania, etc.) proposent dès lors des ampoules de qualité irréprochables avec pour seule garantie une longévité maximum.
La technologie apporte son lot d’avantages non négligeables : selon le type de pièce, l’ampoule ne sera pas la même afin d’optimiser son utilisation. Le consommateur prendra en compte la vitesse d’allumage, l’intensité lumineuse, la puissance nécessaire ainsi que l’ambiance qu’il souhaite donner à tell ou telle pièce de son intérieur.
En résumé, on peut dire que :
- pour une cage d’escalier/couloir/hall d’entrée : ampoule fluocompacte ou halogène ;
- pour un garage : ampoule résistant aux basses températures mais pas de LFC (fluocompacte) qui tardent à s’allumer et procurent moins de lumière ;
- pour une cuisine : ampoule LFC à double enveloppe ;
- pour la chambre : Ampoule 20 Watts ou ampoule ionisante de 11 Watts. Il est préférable d’avoir une ampoule plein spectre central pour un éclairage central et une petite ampoule ionisante (fluocompacte) pour une lumière d’appoint.
- pour un bureau : mêmes ampoules que pour la cuisine car elles limitent également l’infiltration des UV.
